Les données clés de la campagne 2013 d'attribution des heures sur les moyens nationaux de calcul

  • Plus d'1 milliard d'heures demandées

  • 739 millions d'heures pour 571 projets

  • Sélectivité plus importante (7 % de rejets)

La mise en service des calculateurs Ada et Turing à l’Idris à Orsay début 2013 a permis d’augmenter le nombre d’heures disponibles mais la pression reste forte.

  • Demande en hausse plus rapide que l’offre

Le volume moyen d’heures demandées est passé de 811 000 heures en 2009 à 1.7 millions d’heures en 2013. Le nombre de projets ayant consommé plus d’un million d’heures augmente également : plus d’une centaine en 2013 contre 44 en 2010.

  • Taux de pression très élevé

  • En constante augmentation

  • Pression plus forte en 2014

Si la pression sur Ada et Turing reste raisonnable en 2013 du fait de leur nouveauté, elle est très élevée sur toutes les autres machines, notamment généralistes. En 2014, selon les premiers résultats, la pression s’est encore accrue.

  • Pluridisciplinarité des moyens de calcul

  • Complémentarité des niveaux régional et national

Toutes les communautés scientifiques françaises utilisent les moyens nationaux de calcul comme le montre la répartition ci-contre par grandes disciplines (comités thématiques).

27 % des projets bénéficient également d’heures de calcul dans un centre régional de calcul (dit mésocentre).

  • Renouvellement continu

Plus d’un quart (27 %) de nouveaux projets en 2013

 

  • Stabilité du nombre de projets soutenus par l’ANR (38 %) ou par un industriel (14 %) depuis 2 ans

 

  • Bonne consommation

Elle s’explique notamment par la mise en place par GENCI d’un système de reprise d’heures avec alertes mensuelles, destiné à favoriser la consommation régulière des gros projets tout au long de l’année.

 

  • 48 projets en accès préparatoire

Depuis début 2013, les chercheurs français ont la possibilité de demander, de façon simplifiée et accélérée, un petit volume d’heures pour porter ou tester leurs codes sur de nouvelles architectures. Les demandes sont évaluées par les centres de calcul sur des critères techniques, qui peuvent solliciter un avis scientifique si besoin.

 

  • Parallélisation accrue

13 % des codes (contre 11 % en 2012 et 7 % en 2011) utilisent plus de 1000 cœurs de calcul : ils sont prêts pour PRACE.

 

  • Taux de disponibilité de plus de 95 %

  • Optimisation de la charge des calculateurs

  • Utilisation des calculateurs à leur maximum